Il y a énormément de gens qui ont de l’imagination. Beaucoup de comédiens qui sortent des écoles de théâtre mais malheureusement peu d’élu sont appelé à faire ce qu’ils aiment.
Au Québec, les comédiens sont définitivement sous-payés, par exemple, ils répètent énormément et ne sont pas payé, par exemple ils répètent pendant des heures et des heures mais ils ne seront jamais payé pour les pratiques. De plus, les productions pour lesquelles ils travaillent ne génèrent habituellement pas de très gros cachet. Le plus gros problème dans le milieu théâtrale, c’est que ce sont souvent, à vrai dire pratiquement tout le temps les mêmes réalisateurs et les mêmes acteurs qui ce produisent devant des grands publics. Ce qui laisse peu de chance et peu de place pour les autres comédiens. Sans compter les nombreuses coupures de gouvernement fédéral, Stephen Harper n’investit pas dans la culture. Les jeunes comédiens aspire à beaucoup en finissant leurs études, mais malencontreusement la plus part du temps leur agence ne pourra que leur dénicher des rôles de figurants dans des publicités et si ils ont de la chance dans une minisérie. De plus, même si tu es très talentueux, sans la moindre trace d’étude en théâtre tu n’as pas de chance. Les comédiens doivent correspondre à une certaines norme esthétique, en ce qui attrait à la gente masculine c’est plus facile, mais lorsque tu es une femme les choses ce compliquent. Quand tu sorts de l’école, les choses sont compliqué car tu es laissé à toi-même, il y a énormément de sacrifices à faire. Le parcours de plusieurs ce termine plutôt rapidement vu les difficultés d’être comédiens. Quelque un d’entre eu sorte du lot, il faut ce démarquer. Par exemple, écrire une pièce de théâtre, ce créer une compagnie de production de théâtre. Savez-vous qu’il y a environ 60 petites productions de théâtre ici à Montréal. Elles sont quasi inexistantes, malgré leurs nombreuses aspirations, qui pourraient faire grandir le milieu culturel. C’est petite productions ne sont pas subventionnées, il faut donc faire preuves d’imaginations, faire des campagnes de financements, mais honorablement il y a quelques institutions financières aides les petites productions de théâtres tel la caisse populaire. Sinon, il faut ce trouver des commandites et faire vraiment preuves d’ingéniosité, sans oublier les acteurs sous payés qui parfois ne tirons aucun profit. Pour présenter une pièce de théâtre, il faut un lieu, il faut une console de son, sans compter l’éclairage, et c’est ce genre de commandite qu’il faut essayer de trouver. Tout ça à cause d’une énorme lacune au nivaux budgétaires et parce que les ressources sont extrêmement limité. Il faut savoir qu’il y a énormément de comédiens qui jamais ne pourront ce produire sur scène et que d’autre abandonnerons épuisés et sans la moindre trace d’un sous dans leur poche. Le théâtre est un métier de passion, de patience que l’on ne reconnaît plus de nos jours. C’est artistes ne peuvent pas attendre qu’un producteur viennent les voir, ils doivent se battre à tout les jours pour leur passion. Il ne faut pas croire qu’il y a trop d’artistes au Québec, c’est l’art et la culture qui marquent notre époque. On dit que nous laissons des traces de notre passage à traves l’art, l’art visuelle, l’art de la scène et l’art musicale, mais les choses ne bougent pas. Les gens préfèrent ce loué un film, allé au cinéma plutôt que d’aller voir une pièce de théâtre d’un petit producteur. Dans notre société actuelle, nous somme dans une ère où tout est instantané. Même les artiste québécois qui font de la musique ne vive pas de leur vente d’album, mais de leur spectacle puisque leurs albums se vendent de moins en moins. Le piratage sur internet est de plus en plus fréquent, et on ne peut pas nous blâmer on n’a plus de conscience collective. Cependant la société agissant ainsi entraine la culture à perde de la valeur. Les écoles secondaires et primaires ne vont plus au théâtre, ce n’est plus quelques choses qui intéressent les gens, pourtant pleins de petites productions font revivre le théâtre de façon différente. La population ne reconnaît plus la valeur monétaire de la culture. Ils ne sont plus habitués de payer pour accéder à cette culture. Notre société est habituée de tout ce procuré. Pourquoi payer pour aller voir des pièces de théâtre, pour écouter de la musique, pour louer des films lorsqu’on a accès au téléchargement gratuit ?
Ce n’est pas une critique du citoyen québécois, mon but étant d’exposer la réalité dans laquelle énormément de gens ce retrouvent. Plus précisément les comédiens !
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